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Qu'est-ce que DxO PureRaw 4 ?

DxO PureRaw 4 est la toute dernière innovation de DxO Labs, connue pour ses logiciels de retouche de haute qualité. Ce logiciel s'avère être un outil indispensable pour tous les photographes cherchant à améliorer la qualité de leurs clichés RAW. Grâce à sa nouvelle génération d'IA de débruitage, PureRaw 4 établit une nouvelle norme industrielle en matière d'amélioration d'image.

Pourquoi DxO PureRaw 4 est un Incontournable ?

Depuis que j'ai eu l'occasion de tester DxO PureRaw 4 en avant première, je ne peux plus m'en passer. Les résultats sont tout simplement incroyables.

Voici pourquoi :

  1. Débruitage Avancé : Grâce à la technologie DeepPRIME XD2, le logiciel offre une clarté d'image et un niveau de détail jamais atteints auparavant. Les photos bruitées ne sont plus un problème, même dans des conditions de faible luminosité.
  1. Correction Optique de Pointe : Le logiciel ajuste automatiquement les algorithmes de correction en fonction de votre objectif et de votre appareil photo, garantissant des images nettes et sans distorsion.
  2. Intégration et Flux de Travail : Que vous utilisiez Lightroom ou tout autre logiciel de retouche, DxO PureRaw 4 s'intègre parfaitement comme un plugin externe ou peut être utilisé de façon autonome.
  3. Contrôle et Personnalisation : Avec des réglages avancés tels que la luminance et la précision des détails, vous avez un contrôle total sur le processus de débruitage, adaptant chaque photo à vos préférences personnelles.

Je l'utilise en tant que traitement du bruit directement intégré à Lightroom et l'expérience est à la fois rapide et fluide. Le traitement se fait sans avoir à sortir du logiciel et la nouvelle photo est directement ré-intégrée dans Lightroom.

Qui devrait utiliser DxO PureRaw 4 ?

Que vous soyez un photographe amateur cherchant à améliorer vos photos de vacances ou un professionnel exigeant la perfection dans chaque cliché, DxO PureRaw 4 est conçu pour tous. Il est particulièrement bénéfique pour ceux qui travaillent dans des conditions de faible éclairage ou qui cherchent à préserver les détails fins de leurs images.

Comment vous procurer DxO Pure Raw 4 ?

DxO PureRaw 4 est disponible au téléchargement sur le site officiel de DxO. Avec une interface conviviale et une installation rapide, vous pourrez commencer à transformer vos images en un rien de temps.

Un exemple sur une de mes photos

Image d'un Harle Bievre traitée sur DxO PureRaw 4 sur le Thiou, la plus courte rivière de France, qui relie le lac d'Annecy au Fier.

Crop à 100% Version sortie de boîtier, photographiée au Canon EOS R7 avec le EOS RF 100-500mm ISO 2500

Crop à 100% Version sortie de boîtier, photographiée au Canon EOS R7 avec le EOS RF 100-500mm ISO 6400

Conclusion

Ne laissez pas le bruit numérique ou les imperfections optiques gâcher vos précieuses captures. Avec DxO PureRaw 4, redécouvrez le plaisir de la photographie en donnant à vos images la qualité qu'elles méritent. N'hésitez pas à visiter le site de DxO pour découvrir comment ce logiciel peut révolutionner votre flux de travail photographique.

Et si vous êtes prêts à faire passer vos photos au niveau supérieur, cliquez sur ce lien pour obtenir votre version de DxO PureRaw 4. Vous verrez, vos photos bruitées ne seront plus qu'un lointain souvenir.

1. Préparez votre équipement pour photographier l'hiver

Les températures froides peuvent affecter les performances de votre équipement. Assurez-vous que vos batteries sont complètement chargées avant de sortir, car elles se déchargent plus rapidement par temps froid. Gardez également vos objectifs au chaud en les rangeant dans un sac avant de sortir, pour éviter la formation de buée lors du passage du froid au chaud. Photographier l'hiver peut être un challenge, mais vous découvrirez des paysages entièrement différents de ceux que vous verrez l'été.

2. Maîtrisez l'exposition dans la neige

Photographier dans un paysage enneigé peut poser des défis en matière d'exposition. La luminosité réfléchie par la neige peut tromper votre appareil photo, le poussant à sous-exposer la scène. Surveillez votre histogramme et compensez l'exposition au besoin. Sur-exposer légèrement peut souvent capturer plus fidèlement la blancheur de la neige. Mais attention à ne pas entièrement bruler les hautes lumières de votre image !

3. Profitez de la lumière hivernale unique

La lumière d'hiver peut créer des effets magiques. Les journées plus courtes signifient des heures dorées prolongées, avec une lumière douce et chaude qui enveloppe le paysage. Soyez attentif aux contrastes entre les ombres et les reflets sur la neige, et exploitez ces conditions lumineuses uniques pour donner une dimension particulière à vos clichés. Personnellement, j'adore utiliser les courbes arrondies des paysages recouverts de neige pour créer des photos minimalistes. Parfois je les passe en noir et blanc, mais je pense qu'il est plus judicieux de les laisser en couleur pour faire ressortir le bleu de la neige et ne pas confondre avec un paysage de sable.

4. Ajoutez de la couleur avec des accessoires

La palette blanche et grise de l'hiver peut occasionnellement sembler monotone même si j'adore les photos minimalistes. Ajoutez une touche de couleur avec des accessoires tels que des bâtiments aux couleurs vives, des vêtements rouges qui tranchent avec le bleu de la neige, des arbres aux couleurs de l'automne ou bien le ciel bleu. Cela créera un point d'intérêt visuel et ajoutera une dimension artistique à vos photos hivernales.

5. Expérimentez avec les reflets

Les surfaces gelées, les plans d'eau glacés ou la neige fraîchement tombée offrent des opportunités uniques pour capturer des paysages minimalistes ou des reflets. Utilisez des plans d'eau gelés comme des miroirs naturels, et explorez les jeux de lumière qui se réfléchissent sur la glace pour créer des compositions visuellement saisissantes. Vous pouvez aussi jouer avec les stalactites ou des poses longues d'une rivière gelée dont l'eau coule encore par endroits.

6. Protégez-vous et protégez votre équipement

Photographier dans le froid peut être exigeant pour vous et votre appareil photo. Habillez-vous chaudement, en particulier vos mains, qui peuvent rapidement devenir engourdies et gelées. Vous pouvez utiliser des chaufferettes si besoin. Prévoyez de garder les batteries de rechange sur vous pour les conserver au chaud et éviter qu'elles ne se déchargent pour rien. Également, pensez à protéger votre équipement lorsque vous ne l'utilisez pas. J'utilise des sacs f-stop (lien affilié) et ils sont parfaits pour sortir photographier l'hiver !

D'ailleurs je vous offre 15% de réduction sur l'ensemble de la boutique f-stop si vous suivez un cours avec moi.

J’espère que ces astuces vous aideront à explorer de nouveaux horizons photographiques pendant cette saison froide. Si vous avez des photos hivernales à partager ou si vous avez des questions, n'hésitez pas à m’écrire.

Sortez dehors ou restez au chaud, mais surtout, soyez créatifs !

Comme beaucoup d’entre vous m’ont demandé quel était mon équipement pour bivouaquer sur la neige et prendre des photos d’étoiles, j’ai décidé de tout vous expliquer dans cet article. 

Il y a de multiples façons de bivouaquer dans la neige mais celle que je préfère, c’est à la belle étoile. La tente permet d’apporter une protection contre les éléments, pluie, neige, vent, etc… Cependant, pour vérifier l’état du ciel et faire des photos, il faut sortir la tête de la tente ce qui n’est pas pratique et prends du temps. A la belle étoile, il suffit d’ouvrir les yeux pour admirer le ciel et observer les étoiles. Vous pourrez même prendre des photos depuis votre duvet, le luxe! Et enfin, vous augmenterez considérablement vos chances de faire des voeux avec toutes les étoiles filantes que vous verrez. 

Pour dormir sur la neige, il vous faudra deux choses extrêmement importantes: 

En bonus, je vous recommande: 

La bonne combinaison entre un tapis de sol isolé et duvet chaud est la clef d’un bivouac réussi et agréable. Voyons plus en détails comment choisir vos équipements: 

Le tapis de sol isolé

Le tapis de sol isolé vous permet de ne pas perde votre température par le sol. L’isolation d’un tapis de sol est notée R. Cette valeur va de 1 à 10 voir plus. C’est la norme internationale ASTM F3340-18 qui permet de définir la valeur R d’un matelas. 

En général, sur la neige, il vous faudra un tapis de sol ayant une valeur R au moins égale à 4. Le tapis de sol que j’utilise est un Sea to Summit Comfort plus insulated. Il possède une valeur R de 4 et est parfait pour dormir sur la neige. C’est un investissement car il coûte dans les 230 euros mais j’utilise intensément le miens depuis 2016 et il est toujours comme neuf.

Je vais écrire un article spécialisé sur le choix de votre tapis de sol très bientôt mais en attendant, vous trouverez quelques recommendations de tapis ici: 

Sea To Summit Insulated R4
Sea To Summit Ether Light X Trem R6
Thermarest Trail Pro R4.4

Le sac de couchage

Le sac de couchage est également un élément clef. C’est votre cocon. Il est super important de savoir qu’en cas de problème, vous pouvez trouver un refuge confortable dans votre sac de couchage à tout moment. 

Je me souviens d’une randonnée que j’ai fait en Nouvelle Zélande vers Earnslaw Glacier auquel on peut uniquement accéder après 6h de marche. Il n’y a pas de refuge, pas de couverture téléphonique, vous êtes livrés à vous même, seul au monde. Lorsque j’y suis allé, il pleuvait la majeur partie du chemin puis, plus je me rapprochait du glacier, plus la pluie se transformait en grêle. Le vent était déchaîné, les températures étaient négatives, tout était gelé. J’étais littéralement trempé jusqu’aux os malgré mon pantalon de pluie et ma veste Gore-tex. Le fait de savoir que j’avais mon duvet et que je pourrais m’y réchauffer, m’a permis de tenir mentalement et de continuer à avancer jusqu’au pied du glacier. Vous pouvez d'ailleurs lire mon article sur cette randonnée ici: http://www.ag-photo.fr/wp-content/uploads/2021/09/Earnslaw-Glacier-dec-jan-16.pdf

Les sacs de couchage sont classés selon trois températures:

Pour l’utiliser sur la neige, il faudra un sac qui a une température de confort au moins égale à -10°C. Attention car certaines marques comme Thermarest communiquent avec la température limite ce qui n’est pas trés juste car c’est la température à partir de laquelle vous ressentez le froid dans le duvet, autant vous dire que vous ne dormirez pas de façon confortable et détendue à cette température annoncée. 

Concernant la garniture, je préfère de loin le duvet d’Oie qui est plus chaud et plus compréssible que le synthétique. Il aura également une durée de vie plus important. J’ai mon duvet depuis 2012 et il fonctionne toujours à merveille aujourd’hui. C’est un Jack Wolfskin Frostfire qui malheureusement n’est plus produit mais je vous ai trouvé quelques sacs qui seront parfait pour ce type d’aventures.

Le prix d’un sac de couchage est assez élevé mais ici, je vous conseille de ne pas négliger la qualité du sac choisi. Il vous durera des années et sera votre bouée de secours en cas de conditions extrêmes.  

Je vais écrire un article plus détaillé sur le choix de votre sac de couchage trés bientôt mais en attendant, vous trouverez quelques recommendations de sac ici: 

Thermarest Oberon Confort -10°C
Mountain Equipment Confort -11°C
Mountain Equipment Confort -9°C Femme

Le drap de soie (en bonus)

Pour ne pas transpirer directement dans votre sac de couchage et donc limiter le nombre de lavages, qui abiment votre sac et lui font perdre ses qualités d’isolation, je vous conseille d’utiliser un drap de soie. En plus, il vous apportera de la chaleur supplémentaire. 

Il n’y a pas grand chose à savoir sur les draps de soie. Vous pourrez choisir un simple drap de soie ou un drap en microfibres qui vous apportera de la chaleur supplémentaire comme le Thermolite Reactor de chez Sea To Summit. Voici une petite sélection de produits intéressants : 

Drap de soie pour sac de couchage
Drap Thermolite reactor

Avec ces trois must have pour le bivouac, vous pourrez partir bivouaquer l’esprit tranquille. 

Pour plus de confort, j’utilise un coussin gonflable mais vous pourrez vous en fabriquer un avec votre doudoune. Pour le Thermos, j’utilise un Thermos de la marque Thermos qui convient très bien et permet de garder une boisson chaude pendant 24h même posé dans la neige. 

Avec tout ça, je vous promet de belles soirées au chaud, sur la neige, sous les étoiles. Si vous avez des questions utilisez les commentaires ci-dessous. Bon bivouac!

Avant de vous donner un cours photo, j'ai envie de me présenter et de vous partager ma façon de voir les choses. C'est l'objectif de cet article dans lequel je reviens sur les événements qui m'ont poussé vers l'enseignement.

Mes débuts de photographe

Vous pouvez retrouver pleins d'informations sur qui je suis dans la page à propos mais ici, parlons plus précisément de mon parcours de formateur et donc de photographe. J'ai tout d'abord commencé la photographie en 2002, date à laquelle j'ai acheté mon premier appareil photo après des mois d'économies, un Nikon coolpix 2000 avec, tenez vous bien, 2 Millions de pixels!! Une bête de course. Je vous met d'ailleurs une petite photo pour vous donner une idée...

Nikon Coolpix 2000

J'ai énormément utilisé cet appareil photo qui n'avait même pas de mode PASM (nous verrons ce que ça veut dire dans un prochain article) mais j'ai pu commencer à créer des photos sans rien y connaître à l'époque. J'avais auparavant utilisé un argentique emprunté à mon père mais la seule pellicule que j'avais utilisé avec ne m'avait dévoilé que des photos floues... assez artistiques certes mais rien à voir avec ce que je voulais créer. D'ailleurs, le labo de développement ne m'avait même pas facturé le développement de la pellicule tellement ils étaient désolés pour moi. Cet appareil photo a malheureusement fini fondu dans ma voiture qui a décidé de subitement prendre feu en pleine nuit alors que j'étais au volant...

Lorsque j'étais en BTS informatique, j'ai dû réaliser un stage en entreprise dans le développement de sites web, et après quelques recherches j'ai réussi à trouver un stage chez un photographe qui faisait également quelques sites web en parallèle. C'était à l'autre bout de Paris et j'en avais pour quasiment quatre heures de train aller/retour chaque jour. C'était la première fois que je découvrais la photographie de studio, avec des modèles, des flashs, et des produits à mettre en valeur. J'ai donc contribué très succinctement à la création de photos pour un catalogue de la marque Le Tanneur entre autre. Après ce stage, je savais que c'était ce que je voulais faire et avec l'argent que j'y avais gagné, j'ai pu m'acheter un Canon EOS 20D d'occasion, mon premier reflex.

Une évolution timide

C'est là que les choses ont commencé. L'avantage du numérique c'est qu'on peut s'entraîner à l'infini, ça ne coûte rien, on a les résultats instantanément et on peut donc progresser rapidement. En parallèle de mes études, d'abord en BTS puis en Master 2, j'ai commencé à faire de la photographie. Je me suis entraîné avec des modèles, et j'ai appris à utiliser Photoshop 7 grâce à un livre.

Ma technique pour apprendre de nouvelles techniques, c'est de m'enfermer avec un ou plusieurs livres sur le sujet à étudier sans distraction aucune le temps de maîtriser le sujet. C'est vachement plus difficile aujourd'hui avec toutes les distractions du quotidien, mais avec un peu de rigueur c'est toujours possible.

Après un petit moment à m'entraîner, j'ai commencé à avoir mes premières demande de mariage par le bouche à oreille. Ça me rapportait un peu d'argent de poche en parallèle de mes études et c'était plutôt agréable. J'ai ensuite terminé mes études et j'ai travaillé en entreprise assez rapidement. J'ai donc eu plusieurs contrat CDD qui se sont poursuivi par un CDI. Ça a duré trois ans, pendant lesquels j'étais chef de projets à temps plein mais également photographe le soir et les weekends. Je faisais à l'époque des photos pour des agences de pub, Peugeot, C-discount, des mariages, des modèles etc... À un moment je gagnais même plus avec la photographie qu'avec mon job à temps plein. C'était fou!

Mes premiers pas de formateur

Une collègue, photographe également, m'a demandé de lui donner des cours. C'était la première fois et je n'étais alors pas très pédagogue... Je n'arrivais pas à expliquer simplement ce que j'avais appris et ce que je faisais avec mon appareil. Elle a quand même pris plusieurs cours avec moi mais mon expérience de prof s'arrêta là car je ne me sentais pas suffisamment à l'aise à l'époque.

S'en est suivi par une dépression liée à mon emploi de chef de projet, ce n'était pas du tout ce à quoi j'aspirais mais la pression sociale peut vous faire prendre certaines décision qui ne sont pas toujours très logique. J'aimais le confort d'avoir un salaire récurrent et mes habitudes de consommation étaient alors bien en place. C'était très dur de tout quitter pour un travail de photographe qui n'offrait alors pas de revenus assurés.

Après de nombreuses réflexions et la dépression aidant, j'ai alors décidé de tout quitter et je suis parti vivre en Australie pour un an puis en Nouvelle Zélande pour un an et demi. J'ai commencé à faire de la photo mon emploi à temps plein et ai continué à progresser. Je suis ensuite parti de Nouvelle Zélande à vélo et en bateau stop jusqu'au Vietnam.

Première formation de groupe

C'est au Vietnam, à Hoi An, où j'habitais depuis 6 mois que l'on m'a demandé de donner des cours photos à des Digital Nomads dans un espace de coworking. J'ai accepté, et j'ai eu 4 jours pour créer le support de cours.

Mon objectif était de vulgariser au maximum les aspects techniques de la photographie, d'y ajouter des exercices de mise en pratique de la théorie, pour rendre mes élèves le plus autonome possible en un cours d'une journée. Ils ont tous été ravis et le cours leur a plu. Le fait de les voir comprendre et mettre en pratique avec succès tout ce que je leur avait appris, m'a donné envie de continuer.

Une formation aboutie

Aujourd'hui, mon cours a bien évolué et ceci grâce à l'aide de mes nombreux élèves, de leurs erreures et de leur questions. Je dois en avoir eu plus de 150 à travers le monde à l'heure où j'écris cet article (Novembre 2021) et mon cours a bien évolué. Désormais je peux vous apprendre les bases de la photographie en seulement 2h de cours particuliers ou 3h de cours collectifs. J'ai une méthode qui fonctionne et qui est approuvée par mes nombreux élèves.

Cette méthode c'est de simplifier au maximum la photographie, less is more est mon dicton favori. Ensuite, c'est de pousser les élèves à mettre en pratique ce que l'on a vu et les laisser se tromper. Car en lisant on comprends, en faisant on apprends et en se trompant on retient la bonne façon de faire.

Cycle de l'apprentissage d'une compétence

Voilà, c'est ma pedagogie, et elle fonctionne plutôt bien à en voir les résultats.

un livre de formation en approche

Je suis actuellement en train de travailler sur un livre de formation à la photo, pour permettre à un maximum de personnes de bénéficier de cette pédagogie sans pour autant avoir besoin de prendre des cours en présentiel avec moi. Ce livre, je vais en écrire les premiers chapitres sous forme d'articles de blog ici même, alors n'hésitez pas à me donner votre avis et à me poser vos questions pour que je l'améliore.

C'est avec vous et grâce à vous que j'ai fait évoluer ma formation où elle en est actuellement. Donc merci.

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